Suite à la fin du support de Windows XP, soit entre 50 et 70 % du parc du secteur public chinois, et peut-être aussi suite aux lendemains de l’inculpation, aux USA, de cinq officiers de l’armée chinoise pour piratage informatique et espionnage économique…
Le remplacement par un dérivé de Linux apparaît dans un article, mais d’autres journalistes sont plus circonspects.
Microsoft est bien sûr « surpris » de cette décision, affirmant « qu’il travaille avec une série d’agences étatiques pour garantir que nos produits et services respectent toutes les exigences des contrats gouvernementaux. »
Microsoft peut-être, mais qu’en est-il de la NSA ?
Etc.