j’ai commencé une page, à destination de nos amis les journalistes et autres curieux, pour présenter LQ et les principes généraux du libre.
j’ai pas encore attaqué la partie opinions (vente liée, interopérabilité etc etc …) mais j’ai déjà une bonne base de départ http://www.linuxquimper.org/wiki/doku.php?id=dossier_de_presse
Joli travail traaf, c’est très clair. C’est la première fois que je lis quelqu’un qui dit franchement que “les éditeurs de logiciel propriétaire ne vendent que le code « exécutable » et cachent le reste”.
Peut-être un peu long pour un journaliste (ou autres) qui ne chercherait que quelques info sur notre groupe, nos fonctionnements. Comme toujours il faudra choisir de quel manière proposer des tiroirs, avec les développements. Là c’est très bien déjà. Bravo Monsieur Norris !
Tu peux éventuellement jeter un œil à ce texte (qui a peu évolué depuis un bout de temps) développement d’une courte présentation d’Add’ par mes soins. http://www.linuxquimper.org/a-propos-2/
Il reste à espérer qu’un journaliste, pourtant par définition un littéraire, c’est à dire un spécialiste de lecture et d’écriture de textes, sache lire et comprendre… ce qui n’est pas assuré pour tous les journalistes !
J’ai noté par exemple que le mot « compilateur » n’est pas écrit, alors qu’il aurait pu l’être à plusieurs reprises. Mieux vaux l’éviter pour ne pas embrouiller des esprits faibles.
Il faudrait par contre peut-être répondre à la terrible interrogation : « pourquoi une liberté zéro », et non pas « une » ?
Les informaticiens commencent leurs listes (langage C…) à zéro d’une part ; d’autre part dans l’esprit de Stallmann, il allait peut-être de soi que cette liberté d’exécuter un programme acheté était le minimum minimorum exigible ?
Il faudrait par contre peut-être répondre à la terrible interrogation : "pourquoi une liberté zéro", et non pas "une" ?
Les informaticiens commencent leurs listes (langage C..) à zéro d'une part ; d'autre part dans l'esprit de Stallmann, il allait peut-être de soi que cette liberté d'exécuter un programme acheté était le [i]minimum minimorum[/i] exigible ?
Si tu veux, je peux m’occuper de synthétiser. Après tout, troller ou faire une synthèse, c’est un peu pareil : on met de côté les arguments, et on assemble ce qui nous arrange :D.
Excellente l’analogie avec la musique mais qu’en tu écris “Une partition peut être jouée par n’importe qui” il faudrait préciser sauf René
Sur le paragraphe “Aux temps premiers de l’informatique,” me laisse interrogatif. Il laisse à penser qu’avant c’était mieux. Oui dans les années 70-80 j’étais jeune et beau et c’était mieux mais IBM n’en demeurait pas moins le grand méchant Big Brother dénoncé par les hippies, beatnik et autres gauchistes. De plus ton explication semble laisser croire qu’il s’agissait d’un état d’esprit alors qu’il s’agissait plutôt d’une conséquence du cout plus important du hard par rapport au soft. Lorsque ce rapport du cout hard/soft s’est inversé les lois du marché ont balayé ces pratiques d’échange et de partage qui existaient peut-être dans certains milieux universitaires
Les éditeurs de logiciel propriétaire ne vendent de code exécutable, le binaire ne t’appartient pas, mais des licences d’utilisation (contraignantes) de ces programmes. Par exemple les logiciels OEM ne peuvent être installés et utilisés que sur la machine avec laquelle ils ont été vendus. Même si elle ne fonctionne plus.