On le savait, mais il y a plus fort de la part de la pomme :
À Paris, les revendeurs d’Apple remontés contre la marque à la pomme
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2012/02/09/a-paris-les-revendeurs-d-apple-remontes-contre-la-marque-a-la-pomme_1641376_651865.html
Apple impose ses critères aux revendeurs :
- contraintes très fortes dans la formation des salariés ou l’agencement même de leurs magasins […]
- iPhone 4S et iPad 2 non livrés, quantités d’iMac arbitrairement déterminées par Apple…
- nouveaux intermédiaires, ce qui a eu un impact direct sur les marges. Estimées à 3 % environ
- La concurrence directe des Apple Store. Approvisionnés en priorité, luxueux et bien implantés, les magasins directement gérés par Apple poursuivent leur développement, vu par les revendeurs comme une concurrence directe et déloyale
- etc.
Il n’y a pas qu’en Chine qu’Apple semble bien être un nouvel esclavagiste…
Voir les liens en-dessous de l’article et surtout les commentaires :
« La dictature d’Apple sur les marchés et sur les utilisateurs de ses produits, enfermés dans la gangue néfaste de la vision totalitaire de feu Steve Jobs, est de moins en moins supportable. Quelle piteuse histoire que celle d’Apple qui a glissé d’un lointain passé vaguement alternatif (« the rest of us ») vers un présent clairement orwellien. Quand les Apple-junkie perdront-ils les peaux de saucisson qu’ils ont devant leurs yeux? Cette société ressemble en plus en plus à une secte. »
« Les boîtes comme Apple sont les esclavagistes du XXIe, pire qu’au temps de la traite négrière car c’est une chose d’être esclavagiste dans une société esclavagiste, mais c’est bien pire de nos jours. Mais exploiter des ouvriers chinois ne suffit pas, Apple exploite sur tous les fronts, après avoir grandi grâce aux revendeurs il est temps de s’en débarrasser pour ne pas concurrencer les magasins maisons. »
« Apple se montre à ce point « impérialiste » qu’elle ferait passer Microsoft pour un modèle de partage… Je n’ai jamais compris les apple-maniac qui s’auto-contraignent dans l’univers étriqué de la pomme. »