[13 et 14 janvier 2011]Comment réussir avec le Libre sans se trahir ?

[large]Aubervilliers, les 13 et 14 janvier 2011[/large]

«Libre informatique » et CQMD, en partenariat avec l’association MINGA, la coopérative d’activité et d’emploi Coopaname, la coopérative “Neuronnexion”, proposent un séminaire de deux jours, pour examiner avec vous les conditions de votre réussite entrepreneuriale et professionnelle à travers le logiciel libre.

Le logiciel libre ouvre des opportunités d'engagement professionnel, mais c'est un engagement difficile, souvent synonyme de précarité pour les développeurs et ses acteurs alors que paradoxalement l'économie du libre se développe. C'est un engagement exigeant, car les règles qui régissent le logiciel libre modifient forcément les relations marchandes et les modes d'organisation du travail. C'est parfois encore se confronter à une idéologie qui considère que tout engagement est forcément altruiste et que la recherche d'un profit, même si la démarche est non spéculative et qu'elle vise à rétribuer correctement le travail, est forcément suspecte. L'Idéologie qui entretient délibérément la confusion entre logiciel libre et gratuité est le supplément d'âme du capitalisme. Elle est finalement assez peu regardante, voire contribue à l'évolution sécuritaire des technologies et au profilage marketing des internautes.

Comment arriver à lier des intérêts, parfois contradictoires, pour construire une solution commune? C’est autour de cette question que « Libre Informatique » et C.Q.M.D. ont bâti une offre de formation/séminaire permettant de travailler concrètement cette question pour faciliter l’engagement professionnel et l’entreprenariat afin qu’il ne soit pas un sacerdoce ou un acte de rédemption au profit du roi de Prusse.

En partant de l’expérience de chacun, l’objectif du séminaire vise à rechercher des solutions pour mieux faire partager auprès de ses clients et ses fournisseurs, la qualité de son travail et la manière de le pratiquer en tant qu’informaticien.

Cette offre a été conçue par « Libre informatique » et CQMD, en partenariat avec l’association MINGA, la coopérative d’activité et d’emploi Coopaname, et la coopérative Neuronnexion.
Elle se déroulera les 13 et 14 janvier à Aubervilliers.

Un « acte de rédemption au profit du roi de Prusse ». J’ai cherché la contrepétrie, mais je sèche

Un « [i]acte de rédemption au profit du roi de Prusse[/i] ». J'ai cherché la contrepétrie, mais je sèche
Le dicton "Travailler pour le roi de Prusse" serait-il tombé dans l'oubli ?
Un « [i]acte de rédemption au profit du roi de Prusse[/i] ». J'ai cherché la contrepétrie, mais je sèche
Le dicton "Travailler pour le roi de Prusse" serait-il tombé dans l'oubli ?
Oui, mais le web est plein de ressources pour ceux qui sont nés après le XIXe

« Les premiers rois de Prusse n’étaient pas généreux. Le grand Frédéric ne payait à ses soldats leur solde que 30 jours par mois, bénéficiant ainsi de l’argent que représentait la paye du dernier jour, dans les sept mois de l’année qui ont 31 jours. Il rétribuait chichement les ouvriers français qu’il employait. On gagnait donc peu à travailler pour le roi de Prusse. Il est vraisemblable que cette expression familière a été introduite dans la langue par des gens du peuple, plutôt que par Voltaire à qui certains l’attribuent. »

L. MARTEL

(Petit recueil des proverbes français. Paris, Librairie Garnier Frères, 1883, p. 83)

Un « [i]acte de rédemption au profit du roi de Prusse[/i] ». J'ai cherché la contrepétrie, mais je sèche
Le dicton "Travailler pour le roi de Prusse" serait-il tombé dans l'oubli ?
Oui, mais le web est plein de ressources pour ceux qui sont nés après le XIXe (Petit recueil des proverbes français. Paris, Librairie Garnier Frères, [b]1883[/b], p. 83)
Je me disais bien que j'avais connu une époque bien meilleure avant que le roi de Prusse n'essaime un peu partout