http://bourse.lefigaro.fr/indices-actions/actu-conseils/facebook-pourquoi-l-action-a-tant-chute-252623
L’action FB a perdu 39 % de sa valeur, soit 32 milliards de dollars « de capitalisation boursière ».
L’article rappelle que l’introduction en bourse a été émaillée d’incidents informatiques ; mais il y a aussi :
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la tenue vestimentaire de Zuckerberg, qui a déplu lors d’une réunion importante.
Certes Jobs, Gates, Niel ne portent plus la cravate depuis longtemps, mais ils ont su trouver leur style.
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cafouillages du directeur financier sur la pertinence d’une augmentation du nombre d’actions
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erreurs au niveau des banques qui soutenaient (??) la mise en bourse
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modèle économique non encore mature, contrairement à celui de Google : « Ses 901 millions de membres ne lui rapportent chacun que 3,6 euros mensuels par visiteur, contre 32 euros pour Google. Ils ne cliquent qu’une fois sur 2000 sur les bannières publicitaires, contre une fois sur 250 pour Google. Du coup Facebook les vend 24 centimes d’euro en moyenne pour 1000 affichages, trois fois moins que sur Google. »
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désinvestissement des utilisateurs « occidentaux », qui rapportent un peu plus ; augmentation du nombre d’utilisateurs « orientaux » qui rapportent moins ; transfert d’utilisation de FB vers le téléphone portable, où la publicité n’est pas encore bien acceptée.
Fessebouc : déjà le déclin ? 
Rajoutons une couche d’anti-Fesse-bouc primaire.
Il y a plus de faux profils sur Facebook que d’habitants en Allemagne !
« Facebook reconnaît officiellement que tous ses utilisateurs ne sont pas de vrais « amis ». […]
Au détour de ce long document un rien indigeste […] Facebook reconnaît qu’il « existe quelques individus [:lol:] qui alimentent un ou plusieurs comptes en violation avec nos conditions générales d’utilisation, malgré nos efforts ». Et évoque pour la première fois des chiffres, en affirmant que 8,7% des profils, soit 83 millions de comptes, contreviennent aux règles d’utilisation.
Un manque à gagner pour la publicité ciblée
Plus précisément, les comptes dupliqués (deux profils pour une même personne) représentent 4,8% des profils [près de 46 millions !]. Les comptes qui ne correspondent pas à une personne physique - profils créés pour une entreprise, un animal de compagnie… - représentent 2,4% [pas plus de 23 millions], tandis que les utilisateurs « indésirables » s’élèvent à 1,5% [seulement 14 millions].
Un manque à gagner pour Facebook, dont le modèle économique est basé sur la publicité ciblée. Alors que l’action du réseau social a perdu 37% depuis son introduction en Bourse, ses recettes publicitaires ont tout de même progressé de 28% sur un an, à 992 millions de dollars (807 millions d’euros). »
Je vais pleurer pour Machin.
http://www.francetvinfo.fr/il-y-a-plus-de-faux-profils-sur-facebook-que-d-habitants-en-allemagne_125561.html