La semaine dernière, l’Assemblée nationale a adopté le projet de loi d’orientation et de programmation du ministère de la justice pour les années 2023-2027. Parmi de multiples dispositions, ce texte prévoit l’introduction dans le droit français la possibilité pour la police d’activer des appareils et objets électroniques à distance, que ce soit les fonctionnalités de géolocalisation, des micros ou des caméras.
Ça m’étonnerait qu’on puisse allumer à distance mon payçay ou mon taylayphone (qui n’a même pas le jeu du serpent dedans).
Cela dit, je suis persuadé que les DGS* le faisaient déjà en loucedé et ça ne me rassure pas.
Mieux que la NSA : l’État français. Et nos députés. Remercions-les au prochain vote.