C’est très bien que justice soit faite, mais attention, paradoxalement, il ne faut pas insister sur le fait que cela concerne UNE licence (la GPL) mais il s’agit simplement d’un problème de licence non respectée (quelle que soit la nature de celle-ci)
Il est compréhensible que mettre en avant GPL cela fasse plaisir aux libristes, mais une perception/interprétation un peu trop rapide du jugement pourrait être que l’utilisation de la GPL est dangereuse en milieu commercial. Cela s’appelait le syndrome de la «contamination». On en était sorti, il ne faudrait pas y revenir…
La parade est très ou trop vite trouvée : ne plus utiliser de libre dans les solutions de réponse à appel d’offre ! (perception d’un risque juridique alors que ce n’est pas spécifique).