Parcoursup : cachez ces vulnérabilités que je ne saurais voir!

Comme si planquer le code protégeait des piratins, notamment russes ou iraniens.
Si le code source est publié, il n’y a aucune garantie que le code publié tourne bien puisque rien n’empêche le ministère d’en faire tourner une autre version, comme si MicroMou publiait le code source de Windows Me (avec une licence peep-show).
Le code source ne suffit pas, les règles de décision des écoles et des facultés ne sont pas publiées non plus. Certains refusent en arguant que les barres fluctuent énormément d’une année à l’autre et que faire des simulations ne mènera à rien. Sauf que si, des simulations peuvent se faire (les hackers sont créatifs en ce domaine), d’une, et de deux, si les futurs étudiants ne connaissent pas les règles d’accès, ils postulent à l’aveugle, ce qui rend les choses encore plus compliquées pour eux puisque les choix de spécialités se font dorénavant dès le milieu de la classe de seconde, c’est-à-dire à un moment où les règles qui leur seront appliquées leur sont totalement inconnues.
Les deux vont ensemble.

J’ai lu les deux commentaires, qui stigmatisent la qualité, ou plutôt son absence, tant des codeurs que du code produit.
Pourtant, le code du logiciel libre est largement accessible, ls bogues sont corrigées « rapidement », ce qui est gage de qualité, celle-ci est reconnue.
À l’inverse, Parcous sup aussi bien que Microsoft (au hasard pour ce dernier) se défaussent en cas de bogue.
Ce n’est pas sérieux…